Héhé, je ne suis donc pas le seul à écrire des fanfic' dans la guilde...
Bé c'est très bon tout ça.
L'histoire est plutôt intéressante, et surtout, inédite
(contrairement à mes fic', qui se déroulent dans des univers déjà établis). Et même dans le style d'écriture, y'a un p'tit quelque chose... Que j'arrive pas à définir, évidemment, mais ça rend tout ça très sympathique !
Quelques petites remarques quand même, sur des choses qui m'ont troublés ou marqués :
- Kardrym a écrit:
Il faut bien précisé que 12% des hommes de chaque flotte étaient restées à quelques kilomètres des côtes, afin de protéger les troupes engagées sur l'île au cas où d'éventuelles renforts ennemies arriveraient. Cette précaution fut très précieuse à la fin de cette mission, bien que pour des causes non attendues.
Le 12% m'a surpris. Ok, il est historien, mais je ne suis pas sûr qu'il connaisse en détail les effectifs de chaque armée, et donc, qu'il soit capable de donner un chiffre aussi précis. Et puis, les pourcentages, ça fait "actuel"... Pas trop le genre de ton récit !
Et je pense que j'ai loupé un truc, parce que j'ai pas vu l'intérêt de garder des types en arrière. Si j'ai bien tout compris, l'île a été annihilée, et les troupes d'arrière-garde avec...!
- Kardrym a écrit:
Je tiens à faire remarquer que la suite ce rapport sur la guerre de la pierre est strictement véridique bien qu'il soit impossible pour l'entendement de le comprendre même à l'ère actuelle. Je préfère prendre la précaution d'indiquer encore une fois la véracité de cet écrit, si celui-ci traversait les âges et que la véritable Histoire serait déformée.
Je suis pas sûr que cette remarque soit utile. Comme dit au tout début, c'est un historien : on attend de lui de l'objectivité de toute façon. S'il n'est pas objectif, il n'est pas historien, mais conteur ou propagandiste - remarque, cette dernière option est peut-être celle choisie, on en sait rien encore...!
Et j'ai une remarque à faire sur la partie soulignée, digne d'un Grammar Nazi (non, j'ai pas honte, je revendique ce point-godwin
):
si celui-ci traversait les âges et que la véritable Histoire était déformée. Un truc facile à retenir, c'est que "les si n'aiment pas les ré". Un truc du style "au cas où la véritable Histoire serait déformée" serait peut-être plus évident encore...
Je crois que j'ai vu encore des petites erreurs de grammaire/ortho' dans quelques phrases... Mais bon, de toute façon, le sans-faute est utopique
(ça arrive même aux meilleurs ; moi-même, d'ailleurs... ).
A part ces p'tites remarques,
y'a bon ! La suite est prévue pour quand ?
PS (post-scriptum, pas parti socialiste...) : Grâce à une conjecture sociale particulièrement propice (présence de mes grand-parents et du copain de ma soeur à la table de jeu), j'ai mis pas loin de trois heures à rédiger ce message. On peut noter la performance. Mais ça valait le coup : j'ai gagné au 6000. *tousse*